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PROLONGATION DE L'APPEL A COMMUNICATION : date limite 15 mai 2019

Envoi des projets de communication, ou des “projets complets“ de communication.

Nous devons nous organiser pour un colloque tenant compte de plusieurs exigences, qui sont à concevoir comme complémentaires. D’un côté, la priorité doit être donnée aux échanges d’idées et à la possibilité de découvertes de nouveaux aspects, d’avancées provenant de ces échanges. D’un autre côté, certains participants souhaiteront (et c’est légitime) que leur travail débouche sur une publication, et ce souhait peut aller jusqu’au besoin, pour leur dossier, d’une publication rapide — dans ce cas, il vaudra mieux que le projet de communication soit “complet“, c’est-à-dire consiste en un texte finalisé dans la forme décrite ci-après. Les projets “simples“, ou non urgents, peuvent se limiter à une page (Word times 12), indiquant titre, nom et coordonnées d’auteur(s), atelier visé.

En conséquence, nous pouvons avoir un éventail de positions variées, allant d’une inscription au colloque sans projet formel de communication à une inscription assortie d’une communication avec besoin de publication urgente, en passant par une inscription avec communication sans urgence particulière… Lors du colloque 2017, la plupart des ateliers avaient une durée supérieure à celle nécessaire à l’exposé des communications prévues — seuls ceux du mercredi matin étaient “ajustés“ au nombre de communications. Nous reprendrons cette idée en prévoyant des “ateliers-discussion“, ayant en priorité le temps disponible pour les échanges. Nous devrons en général donner la priorité aux échanges en tenant compte de la variété des positions, dans l’écoute et la bonne humeur.

Liste prévisionnelle des ateliers

  • Coopération et Éducation Nouvelle : quels invariants ?
  • Pourquoi ? Comment co-construire des savoirs et des savoir-faire et favoriser le développement mutuel entre chercheurs et praticiens/chercheurs ?
  • Comment développer une relation symétrique entre le savoir du chercheur et le savoir du praticien propice à un véritable rapport dialogique ?
  • Dans ma pratique au quotidien, qu’est-ce qui m’aide ou au contraire me fait difficulté dans telle ou telle modélisation de l’apprentissage ?
  • Est-ce que j’ai, à partir de mon expérience de terrain, ma propre amorce de modélisation ?
  • Peut-on repérer des convergences, ou au contraire des différences voire des oppositions (ou contradictions) d’une modélisation de l‘apprentissage à l’autre ?
  • Malgré la différence de niveaux, peut-on repérer des invariants, des liens (ou des oppositions) entre telle méthode (ou tel élément de méthode) pédagogique et une modélisation de la cognition ?
  • Certains accordent une priorité à la cognition collective (Vygotsky…), d’autres à la cognition individuelle. Certains pensent qu’il faut les penser ensemble (Sallaberry…). Cela peut mériter discussion ou méditation…
  • Rapports entre champ de la cognition et champ de l’inconscient : tensions irréductibles et articulations possibles, une responsabilité éthique à ne pas refouler.
  • L’hypothèse constructiviste : chaque élève, à partir des activités, des situations, des interactions, construit son savoir, fait-elle débat ? Pose-t-elle question ?
  • Quelle place pour le matérialisme pédagogique dans l’apprentissage ?
  • La modélisation des situations professionnelles :  comment apprendre à penser les problèmes professionnels ?
  • L'écoute sensible du rapport au savoir : une expérience pédagogique.
  • Conscience autopoïétique, autoréférentielle et pratique de la méditation de pleine conscience en éducation.
  • Autour de la pensée de Francisco Varela — approche de la pleine conscience et autres aspects ?
  • Pédagogie Freinet et enseignent supérieur;
  • Pédagogie Freinet et formation des enseignants
  • ......

Pour que le comité d’organisation puisse travailler dans de bonnes conditions, nous souhaitons que tous les projets arrivent pour le 15 MAI 2019

Envoi du projet de communication exclusivement sous la forme d’une fichier doc, docx ou RTF ( pas de PDF) par mail uniquement à : evenements@espe-aquitaine.fr

Ce projet de communication précisera sur une page – dite de présentation – le titre de la communication, l’auteur (ou les auteurs), son (leurs) titre(s), le rattachement scientifique et/ou le lieu d’exercice, l’adresse, le téléphone et l’e-mail et l’atelier “visé“. La page suivante reprendra le titre de la communication, le résumé, puis suivront le corps du texte et les références bibliographiques.

Forme des projets de communication

Chaque congressiste peut proposer au maximum deux projets de communication (seul ou en collaboration).  

Les précisions qui suivent concernent les communications en vue d’une publication rapide. Pour les projets simples (ou non urgents), elles seront prises en compte lors de la rédaction de la version à publier.

 Préalable

Le colloqueÉducation et Cognition — de la pédagogie Freinet aux éléments théoriques amenés par les diverses modélisations, et de ces éclairages théoriques à la pédagogie coopérative“ est une manifestation francophone.

Le colloque prévoyant que les textes figurant dans les actes soient en langue française, il est demandé aux contributeurs (par exemple anglophones) de soumettre des projets de communication ayant déjà fait l’objet d’une traduction complète.

Marges(en cm)

Haut              5

Bas                5

Gauche          4,5

Droite            4,5

Reliure          0

En-tête           0

Pied de page  4

Pas de feuille de style, éviter les sauts de sections (pour éviter les problèmes de pagination ou de formatage des actes) — le texte doit pouvoir être repris, remanié.

Taille des communications

30.000 caractères (espaces compris) maximum, en incluant dans le calcul les notes et les références (simple interlignage ; graphiques et références bibliographiques comprises) et 10 pages maximum au format ci-dessus. 
Ce volume ne comprend pas la page de présentation mentionnant le titre et le nom de(s) l’auteur(s) —voir la rubrique C.

Interlignage : simple (corps du texte, encadrés, annexes).


Police de caractères : Times ou Times New Roman

Aucune expression soulignée — même pas une référence sous forme de lien internet !

Titre de la communication: en taille 12, texte centré, caractères gras (pas de capitales). 


Mention du (des) prénom(s) et du (des) nom(s) de(s) l’auteur(s) : taille 12, texte centré, caractères gras et en italique (pas de capitales).

Mention de la fonction et du rattachement scientifique en note 1 de bas de page.

Résumé (4 à 10 lignes) et mots-clés (limités à 6), abstractet keywords : taille 10

Corps du texte : taille 11, texte justifié.


Les citations d’auteurs dans le corps du texte sont du type (Meirieu, 2012, p. 143) la présentation complète figurant dans les références bibliographiques.

Notes de bas de page : taille 9, texte justifié.

La présence de ces notes de bas de page exclut absolument l’existence de notes en fin de communication. 
On ne doit pas sauter de lignes entre les notes de bas de page.
 Les appels pour les notes de bas de page, figurant dans le texte, doivent être positionnés « en exposant » et doivent avoir le même corps que le texte des notes (taille 9).

Références bibliographiques : taille 10

Numérotation des pages

Bas de page, positionnement central (taille12).

Encadrés, cartes et graphiques

Ils sont intégrés au sein du texte (et ne sont donc pas renvoyés à la fin du texte).


Références bibliographiques

D’une manière générale, il ne faut mentionner que les références bibliographiques strictement concernées par l’objet de la communication et donc citées au sein du texte. Il faut donc éviter de créer, à côté des références bibliographiques, une « bibliographie » complémentaire.

Attention : pas de retrait (positif ou négatif) dans la présentation des références bibliographiques. Elles se suivent à l’image des exemples suivants.

Pour un ouvrage

Le Moigne J.-L., 1995, Les épistémologies constructivistes, Paris : PUF

Pour un article

Vannereau, J., 2014, Analyse des pratiques managériales et pédagogie institutionnelle, L’année de la recherche en sciences de l’éducation, p. 151 – 174.

Pour un ouvrage collectif

Pagès M., Bonetti, M., de Gaulejac V., Descendre D., 1979, L’emprise de l’organisation, Paris : PUF.

Pour un chapitre dans un ouvrage collectif

Guiraud, M., 2003, De la symbolisation institutionnelle, — « Enquête institutionnaliste » sur un certain « vide conceptuel », in Actualité de la théorie de l’institution, s/d Ardoino J., Boumard P., Sallaberry JC, Paris, L’Harmattan (Cognition et Formation), p. 127-157.

Pour une communication lors d’un colloque

Ardoino J., Colloque AECSE « Sciences anthropo-sociales et sciences de l’éducation », Paris, 1983. Actes p 148

Guiraud, M., 2003, De la symbolisation institutionnelle, — « Enquête institutionnaliste » sur un certain « vide conceptuel », in Actualité de la théorie de l’institution, s/d Ardoino J., Boumard P., Sallaberry JC, Paris, L’Harmattan (Cognition et Formation), p. 127-157.

Le Moigne J.-L., 1995, Les épistémologies constructivistes, Paris : PUF

Pages M., Bonetti, M., de Gaulejac V., Descendre D., 1979, L’emprise de l’organisation, Paris : PUF.

Vannereau, J., 2014, Analyse des pratiques managériales et pédagogie institutionnelle, L’année de la recherche en sciences de l’éducation, p. 151 – 174.

 

 

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